L’anesthésie est une opération qui consiste à suspendre toute sensation que peut procurer un travail médical. Chez les personnes âgées, cette opération peut toutefois présenter des effets secondaires, passagers en raison de l’affaiblissement des organes du corps. Découvrez ici, quelques effets suivis des pratiques à adopter pour pallier ces conséquences.
Les effets secondaires après une anesthésie
Les effets secondaires d’une anesthésie sont nombreux. Ils sont encore plus lors d’une anesthésie senior, car l’organisme s’affaiblit déjà au niveau de cette catégorie d’âge. Chez les personnes âgées de plus de 60 ans, elle peut causer :
- Des troubles respiratoires ;
- La diminution des facultés intellectuelles ;
- Un ralentissement de certains organes du corps.
Généralement, les troubles ou complications respiratoires sont dus à une surdose de l’anesthésique dans le corps. Ce qui peut avoir aussi un impact direct sur le fonctionnement du cœur. Le rythme cardiaque peut avoir un dysfonctionnement. En ce qui concerne les diminutions des facultés intellectuelles, le patient peut présenter des troubles de mémoire, des problèmes de diction. Pour finir, lorsqu’on parle de ralentissement du fonctionnement des organes, l’anesthésie peut provoquer par exemple des troubles digestifs chez le patient.
Que faire pour limiter les effets secondaires de l’anesthésie ?
Pour éviter les conséquences d’une anesthésie, la première des choses est de connaître les bonnes pratiques à adopter face à cette opération. Ici, il revient au patient de savoir quoi faire avant et après l’opération.
D’abord, il revient à l’anesthésiste de déterminer les facteurs qui peuvent occasionner des effets chez le sujet. Ceci étant, il doit au préalable effectuer des examens avant de passer l’opération. Le résultat obtenu pourra l’aider à savoir le type d’anesthésique qui peut correspondre à l’organisme du patient. Aussi, cette étape aide l’anesthésiste à donner des conseils au patient afin d’éviter les risques d’effet secondaire.
Ensuite, après l’opération, il est important que le patient s’efforce à faire travailler ses organes progressivement. Cela passe par l’alimentation et surtout la pratique de quelques activités sportives. Par ailleurs, il faut préciser que la pratique des activités sportives doit se faire progressivement.